Si le discours de la charia concerne l'extérieur, sa considération est intérieure, et si le discours de la charia se rapporte à l'intérieur, sa considération est extérieure. Le savant regarde toujours le législateur sur qui il a suspendu le jugement sur ce qu'il a apporté dans cette question particulière. Est-ce dans l'extérieur, comme les mouvements, ou dans l'intérieur, comme l'intention, l'envie, la méchanceté et le désir du bien ? Pour les croyants, les bonnes pensées et les mauvaises pensées, partout où le législateur y attache le discours apparent de la langue, il y a une contrepartie en échange de celle-ci ou en échange d'un jugement, comme à une bonne pensée correspond une pensée laide et qu'une bonne action lui est opposée dans l'apparence extérieure ... C'est le contraire de la norme, comme faire le bien avec un non-musulman du fait qu'il reconnaît son Seigneur, sans savoir ce qui lui est dû .